Les verres, c'est bien connu, ça casse. Et quand on a cassé la moitié du service, on en rachète un et au bout de 10 ans on a une douzaine ou plus de verres dépareillés. Moi je m'en fous, je trouve ça charmant. Mais les Parisiens n'ont pas tous cette vision des choses... et jettent donc leurs verres esseulés. Mon placard accueille donc ces orphelins et reprennent du service au quotidien. Un exemple qui date un peu :
Un grand verre très fin et un verre à pied très commun accompagnés d'une boîte d'allumettes en métal
Et l'autre jour, toujours lors des encombrants de Gentilly, nous sommes tombés sur le déballage d'une cave d'un ancien apprenti chimiste qui m'a légué sa petite verrerie personnelle :
De jolies pipettes longues et fines, des boites de pétri et divers flacons en bon état
Il y a même une petite touillette en verre...
Et de jolis miroirs (en argent me semble-t-il) pour de jolis jeux d'optique